interview de Pascual de Lorca – traduction en Français

(traduction : PFSHDLV –  mars 2019)

Phil : Bonjour Pascual, comment ça vas tu ?

Pascual : bien bien Philippe

Phil  : Merci d’avoir accepter cet interview pour Flamencophil

nous nous sommes rencontrés …

Pascal : oui l’année dernière au festival

Phil : je voulais en savoir un peu plus sur toi, alors que fais tu dans la vie ?

Pascual : depuis l’age de 12 ou 13 ans, j’ai rencontré quelqu’un qui me donnait des cours de guitare, c’est ce que je voulais

A 15 ou 16 ans je suis venu 4 jours pour connaître Jerez et làa je me suis dit c’est ici que je veux rester

Et depuis cette époque je joue de la guitare ici à Jerez et partout dans le monde

Phil : comment es tu venu à la guitare ?

Pascual : et bien, il y a toujours eu une guitare à la maison . Oui à Lorca, Murcia d’où je viens, il y a une grande aficion au flamenco et puis les gens se réunissent en groupe de musique du folklore, ils jouent … de la mandoline, du tambourin, des bals régionaux.

Je me souviens à 5 ans je jouais du tambourin et chez moi il y avait toujours une guitare et moi je voulais en jouer. Et j’ai rencontré le maestro Palmita , cet homme était de Jerez et il était professionnel, il avait pris des cours avec Javier Molina.

En cherchant à Lorca , je l’avais trouvé et j’ai suivi des cours pendant 1 ou 2 ans, c’est ce que je voulais.

Et c’est la que je me suis initié, j’ai écouté jouer la Soléa. Et un jour mon maestro me dit  : « je vais 4 jours à Jerez, et je l’ai accompagné.

Ça fait de ça 40 ou 42 ans et depuis …

Phil : tu n’avais pas peur

Pascual : je suis venu ensuite seul à Jerez et j’avais 15 ou 16 ans. Je cherchais seulement où il y avait de l’ambiance de guitare et je n’avais pas peur d’être seul .

Il faut dire que la façon d’être d’ici en Andalousie, je te dis cela parce que moi je viens de Murcia, où les gens sont comment dirais-je, un peu plus sec.

Mais moi pendant ces 4 jours ici, le caractère d’ici est très chaleureux, très …

A moi on me disait « Niño tu dois venir ici, viens ici avec nous, ici tu n’as rien besoin. Et ici tu apprendras la guitare ». Et … je suis venu.

Phil : tu avais eu des cours de musique …

Pascual : oui avec ce maestro Palmita, et ensuite quand je venais ici, j’étais là 2 ou 3 mois, je revenais à Lorca.

Et quand je revenais à Lorca, je prenais des cours avec un prof qui donnait des cours de solfège, il était directeur d’une bande musique. Mais je revenais ici, je ne pouvais pas m’inscrire au conservatoire, mais ici je cherchais seulement l’ambiance du flamenco.

Maintenant on fait de la musique et tout ça, mais a cette époque non.

J’avais aussi l’apriori que le classique te rend le flamenco plus difficile … mais tout ce qu’on peut apprendre est bon. Si je savais plus la musique … ce n’est pas obligatoire de savoir la musique pour apprendre le flamenco… Mais c’est toujours bon de savoir …

Phil : et tu voulais être musicien à cette époque ? tu savais ce que tu voulais faire ?

Pascual : oui je voulais jouer de la guitare, flamenco, jouer pour la danse, pour le chant. D’ailleurs Ça me plait plus que de jouer seul. Apprendre…

Je voulais me sentir intégré dans un groupe… Tu vois quand 2 personnes qui tapent dans leur mains les palmas et moi qui peut jouer de la guitare pour la danse et pour le chant.

Moi c’est ça que je voulais faire … si j’arrivais à jouer seul, ou jouer …., moi ce que je voulais c’était jouer de la guitare !

Phil : tu te souviens de quelqu’un en particulier , dont tu t’ étais dit je veux faire comme lui ?

Pascual : bien sûr, il y a toujours cette référence à cette époque, ça fait 40 ans, quand sont sortis : Paco de Lucia, Paco Cepero, Enrique de Melchior, Manolo Dominguez ..fff … c’était incroyable,

et la guitare d’ici de Jerez : Manuel Parilla, Moraito, Niño Jero, Gerardo Nuñez … à cette époque … Mais moi mon idée c’était de jouer de la guitare, je voulais me sentir réalisé : Jouer .

Ce que tu dois dire. J’apprends avec beaucoup de monde, Tu ne fais jamais la même chose que ton maestro. Je n’écoutais pas une seule personne. Si tu écoutes seulement Paco …tu peux terminer en faisant la même chose …

Mais ici j’écoutais Parilla, les Morao, des gens de Huelva, des gens avec qui je travaillais et tu n’écoutes pas qu’une seule personne… de toute façon écouter que Paco c’était impossible (de faire comme lui), il faut bien commencer …

Phil : ici , c’était qui ton maestro ?

Pascual : c’était José Luis Balao, et Manuel Lozano el Carbonero qui avait une une académie et plus tard bien sûr les cours que je prenais, et après tu cherches à jouer pour la danse, et donc tu apprends. Je me rappelle que je suis allé dans l’école de Cristobal el Jerezano et il y avait un garçon qui était Agostin de la Fuente, et j’allais à un autre endroit il y avait un autre guitariste. On apprend avec celui qui est là qui sait beaucoup plus que toi .

Phil : Et tes parents ils étaient derrière toi, et d’accord avec toi, avec ton choix :

Pascual : Oui ils me disaient de le tenter … et économiquement aussi … j’allais à Lorca où nous avions un restaurant familial ou je travaillais. Mais quand je venais ici (à Jerez) J’avais besoin d’argent.

Après avec le temps , j’ai commencé à aller dans une compagnie à aller dans quelques endroits où on me payait quelque chose. C’était pas vraiment pour ce que je gagnais, mais pour être introduit dans ce milieu en jouant.

Phil : je sais que tu aimes beaucoup accompagner le chant, la danse

Pascual : oui

Phil : Comment on apprend cela ?

Pascual : ça s’apprend , ici je l’ai fait en allant dans les académies et en m’asseyant à coté de celui qui y jouait et surtout quand il savait plus que toi .

Et j’ai appris en imitant celui là. Et puis j’allais avec un autre groupe de personnes. J’allais à Cadiz, on a formé un groupe « Aci Canta y Baila Cadiz » et en regardant comment on joue à Cadiz, l’allegria , en imitant, et en travaillant.

Et en travaillant, j’ai travaillé avec El niño Jero, avec Antonio. Il faut prendre des choses de partout , voir des récitals. En regardant comment ils accompagnent.

Et puis après il faut le faire toi même, en pratiquant, Il faut se jeter à l’eau .

Quand je jouais déjà un peu , ici, il y avait beaucoup de concours de Cante, il y avait besoin d’une guitare officielle qui soit là. Et ça m’a beaucoup appris. Je devais jouer tout ce qu’on me demandait. Des fois ça sortait bien mais des fois … ffff …. Ça c’est une école …

Des chanteurs, des chanteuses que tu ne connaissais pas et au moment tu montes sur la scène et tu joues. Y a quelque chose de spécial …

Phil : Tu te souviens quand tu a décidé d’aller vers ce métier de guitariste ?

Pascual : Oui, quand on commence à t’appeler, sinon j’étais obligé de retourner à Lorca, je commençais à sortir, Une fois je suis allé en France, sur la Cote d’Azur. Il y avait un festival, je représentais l’Espagne, la guitare. C’était En 1983.

Je suis revenu de ce festival et un ami de là bas m’a présenté et il nous avait inscrit à concours de la Union (Murcia) et on y est allé , moi j’avais pas très envie, mais mon ami nous avait inscrit. Et j’ai remporté le prix, c’était en 1983 , c’est pour ça que je m’en souviens. Et là j’ai commencé à avoir un travail à Murcia, à la Manga del Mar Menor, Antoñio Piñana me dit , le guitariste de la bas de la Union, me dit « J’ai un groupe avec lequel je doit partir 15 jours, tu peux ? , parce que je sais que tu joues pour la danse … et quand j’ai eu fait 15 jours, je lui ai dit non je dois retourner à Jerez, pour continuer à apprendre. Parce que pour moi ce qui comptait c’était jouer et si quelqu’un t’appelait et payait quelque chose, mais c’est l’école, il faut continuer, je ne peux pas rester à La Manga del Mar Menor … non … non . Je savais qu’ ici (Jerez), il y a beaucoup de guitare, beaucoup de concurrence, mais c’est ici qu’on apprend, pas n’importe où, non ici . Moi j’étais le dernier mais tout ce que tu vois, la façon de chanter, le style des palmas, … pour apprendre il faut continuer ici (à Jerez).

Phil : et les gens … ?

Pascual : oui on a commencé à m’appeler, dans un groupe Angelita Gomez, c’était un groupe Rincon Andalous, dans son école de Danse, on a formé un groupe. Dans ce groupe je me souviens qu’a commencé Mariana de Cadiz. Et elle a commencé à me dire tu viens avec moi je vais à un concours, Je vais à un récital, je vais à Cadiz, je vais Huelva …. Et à la fin j’allais toujours avec elle. J’étais sa guitare. De même pour le chant j’ai commencé à jouer pour Chano Lobato, avec Rancapino. Après tu joues dans un festival, tu commences à jouer avec plus de monde et après encore plus de gens. Je suis entré dans la compagnie de Manuel Morao pour la danse. On a été aussi presque 10 mois à Paris . Après on est allé avec Antonio el pipa. Tout ça c’est une chaîne. Quelqu’un te voit en train de jouer et il te dit « tu veux jouer pour moi, tu venir avec moi » et c’est tout.

Phil : Est ce qu’on a fini un jour d’apprendre ?

Pascual : Non parce que … si tu as ce problème d’avoir un ego personnel « moi je sais tout , je crois qu’on apprend pas». Je crois qu’on est le critique le plus grand, tu sais quand tu l’a mal jouer.

Si tu crois que tu es bon. Ou si par exemple tu vis ici, et ta famille te dit tu es le meilleur, tu es un phénomène et toi tu le crois. Alors là tu n’apprends pas.

Moi j’apprenais, j’étudiais plus, j’allais une nuit à un concours de chant, et quand il y avait une chanteuse ou un chanteur et que je savais que je l’avais mal accompagner, il venait de Malaga , il chantait un canté abandolao que je ne connaissais pas , ça ça me faisait étudier plus ce chant, cette forme. Et quand à un moment ça sort bien , tu te relaxes et tu dit Ha … Quand tu sais que sur 10 morceaux que tu as fait , 3 ou 4 n’ont pas été terrible, ça ça te fait t’améliorer. Et la fois, un autre jour quelqu’un te dit , c’est qu’il y a beaucoup de chant, j’allais à un endroit on me demandait tu peux jouer une Mariana, et je disais bien sûr oui je sais, une Farruca, une ceci . ça avant ça je le jouais mal, mais en le travaillant ça te forge. Pour moi ça a toujours été clair, y a des choses qui sortent bien et d’autres non. Bref la personne qui joue qui chante qui croit «je suis un phénomène » je pense que c’est un problème.

Phil : tu me disais aussi l’autre jours que pour apprendre avant il n’y avait pas youtube …

Pascual : Moi je n’avais même pas un radiocassette, rien pour enregistrer

On notait des choses , mais tu sortais de l’académie de Guitare et la falseta tu l’avais là (dans la tête), « ne me parle pas … », et après tu poursuivais en la pratiquant , si tu oubliais la mélodie …

Après oui j’ai une des cassettes, maintenant il y a beaucoup …,

Mais à l’époque tu oubliais tu étudiais autre chose, et le jour suivant tu te disais au fait comment c’était déjà , c’était un peu plus difficile, mais aussi ça te faisait créer . Les gents apprenaient comme ça . Ils allaient à un théâtre, ils écoutaient quelqu’un jouer et chanter, ils rentraient chez eux, « hummm ..ha c’était quelque chose comme ci plus ou moins ». C’est aussi pour cela qu’on créait plus aussi.

Tu jouais avec quelqu’un ou tu écoutais quelqu’un d’une autre zone. La gens allaient à la Union écouter quelqu’un chanter , pendant 2 ou 3 jours écouter cette personne mais ensuite

Aujourd’hui on a la possibilité d’enregistrer mais maintenant on a la possibilité de l’enregistrer, et tu peux continuer à l’écouter et l’imiter exactement …l’étudier, tu faisais une version pas identique, selon tes capacités, les gens faisaient des versions différentes …différents chants, … j’écoutais plusieurs fois tu faisais quelque chose de similaire. J’écoutais . Maintenant tu peux le revoir même l’année prochaine .

Phil : il y a des styles que tu préfères jouer ?

Pascual : au final, ça dépend de ton état d’âmes, mais j’aime tout, tu profites le plus du chant et de la danse quand tu sais que l’interprète le fait bien, par exemple la buleria, une autre fait bien la soléa et tu apprécies alors plus ce chant. J’ai écouté Paco Toronjo et j’adorais le fandango. Avec lui j’appréciais jouer un fandango mais pas la buleria. Au final tu vois il n’y a pas de grand jeu, ni grand chant, c’est l’interprète, la personne qui le fait.

Par exemple, ici on apprécie beaucoup jouer la buleria, et avec les gens de Cadiz, l’allegria … et c’est là qu’on apprécie. Je pense que ça dépend du moment.

Phil : tu te souviens de ta première guitare, comment tu l’as choisie ?

Pascual : à l’époque on ne l’a choisissait pas … il y avait une guitare à la maison et je ne savais pas si elle était bonne ou non, par contre quand j’allais chez un ami, un voisin, il me disait « dis à ton père qu’il t’achète une autre guitare, moi je lui disais mais c’est la même chose (rire)… plus tard mon père m’a acheté une guitare Alhambra. Là c’était déjà, il y avait un différence, oui, une différence elle coutait 8000 pesetas, aujourd’hui ce n’est rien …

Pascual : au début je ne savais pas dire si une guitare était bonne ou mauvaise, avec le temps oui, ensuite mon père m’acheté une autre guitare venant du brésil, je la conserve, elle était très bien, ensuite tu joues, tu achètes des guitares ici chez Algodonales, Valeriano Bernal …tu achètes des guitares et ensuite on voyait Paco et tout le monde voulait jouer sur une Condé Hermanos et au final tu te dis moi aussi je veux mais c’est vrai qu’un jour tu rencontres ta guitare. Mais c’est très personnel, un jour tu dis celle là c’est la mienne.

Phil : Quels conseils tu donnerais à quelqu’un qui se lance dans la guitare ?

Pascual : surtout, il faut penser, je crois , et c’est pour ça que je ne me suis jamais ennuyé, ni senti frustré parce tu as plus de travail, tu es connu ou pas assez. Pour moi c’est l’aficion, donc si tu ne perds pas l’aficion. On a toujours des moments, par exemple quand je joue un soir un récital et que je suis satisfait, tu ne voudrais pas être quelqu’un d’autre … et un autre soir c’est pas le cas … mais l’aficion doit toujours être là , si tu ne penses que «je veux être comme untel ou plus grand tu n’apprécies pas … ». Il faut de l’aficion pour la guitare. Certains me disent, « moi si je gagne à la loterie et je suis millionaire, je ne touche plus la guitare » et bien moi si … parce que c’est ce que j’aime.

Les choses bonnes ou mauvaises ne doivent pas te frustrer, et je ne penses pas faire autre chose,… l’aficion. Si tu ne fais que regarder le matériel ou jouer uniquement pour avoir … tu as ta façon de jouer. Le flamenco, Il y a d’autre forme de musique qui peut toucher plus de public , le flamenco touche une minorité … mais il ne faut pas penser à cela, moi je fais ce que j’aime, je joue comme ça. Si il y a quelqu’un de plus spectaculaire, moi je ne veux pas jouer autrement. Non il faut l’aficion … si tu ne l’as plus … et que tu recherches uniquement les choses parce ça va me rapporter plus d’argent, ou je vais faire une autre musique … non non non.

Phil : quels sont tes meilleurs souvenirs dans ton métier jusque maintenant ?

Pascual : la chance, les gens que j’ai le plaisir d’accompagner cante, baile. Les personnes que j’ai rencontrées … la chance de rencontrer ces bonne personnes, toujours en apprenant … un groupe à Jerez avec ce rythme , avec des gens comme Chano Mariana, Canela , arriver à la Union et jouer pour El Lebrijano, des gens de Lebrija, Curo Malena, des gens de Cadiz comme Canela de San Roque , jouer avec Felipe Campusano au piano … dans ces moments tu te sent, cette vie je ne l’a changerais pour rien au monde

Phil : tu as une anecdote que tu peux raconter ?

Pascual : Oui, quand on allait avec Chano Lobato, ou Mariana. Chano racontait tout ce qui nous était arrivé sur scène. Une fois à Madrid on commençait avec Mariana, il me dit « je n’entends pas la guitare , je n’entends pas , un peu plus fort la guitare, un peu plus fort la guitare »… en fait il avait oublié de retirer ces bouchons d’oreilles de voyage, je n’entendais pas la guitare… on a beaucoup rit. Et des trucs qui t’arrive juste avant et sur la scène tout ce passe bien, quelqu’un qui danse qui se tord la cheville juste avant et sur scène nikel … Les routes de voyage chaotiques … maintenant c’est mieux …

Phil : tu as fais un disque, il y a peu

Pascual : oui, j’avais fait pas mal de choses, dont un DVD avec de la danse, mais je voulais faire quelque chose seul, je voulais laissé quelque chose, j’ai fait des vidéo, des disques avec des chanteurs, beaucoup de collaboration. Je voulais laisser quelque chose de moi.

Phil : comment s’appelle le disque

Pascual : Puro Sueño. J’ai eu la chance d’avoir mon ami David Lago qui m’a aidé et qui m’a produit le disque. Je lui montrais des thèmes. et d’avoir tout ceux , on le faisait ensemble et les amis qui ont collaboré à la voix, les palmas, avec la guitare, la chance de beaucoup d’amis et de le faire tranquillement. Un Thème quand je pouvais, ça a pris un an et demi ou deux et laisser quelque chose dont je suis très content, quelque chose de moi…je suis très satisfait, et je dis merci à tous ceux qui ont participé au disque.

Phil : tu as des projets ? d’autres disques ?

Pascual : surtout des actuations, accompagner la danse pendant le festival . On doit aller à Zamora le 23 mars avec Melchor Ortega, je crois un enregistrement avec du chant et puis avec la compagnie suisse de Flamenco avec qui je collabore depuis 10 ans. On a 6 mois jusqu’à janvier 2020, on a pas mal de travail et quand on revient ici, cet été on doit faire ce festival de « los ferros » à Murcia avant La Union. Accompagner …

Phil : je te dis bonne chance et plein de succès pour ces projets !

Pascual : la vérité c’est que avec le temps, moi je prends les projets qui se font tranquillement et sur lesquels on va apprécier et surtout avec des bons compagnons chanteurs, danseurs avec lesquels tu joues ce n’est plus un travail. Entourés de ces gens c’est se régaler.

Phil : On arrive déjà à la fin notre entrevue

Pascual : Je suis heureux que ce soit déjà le 2eme festival où nous sommes réunis à Jerez. J’espère que vous avez profité du festival, des cours … Ce qui se tente, si il y en un qui connaît un truc, le transmettre à un autre. Ce qu’on fait avec moi quand je suis arrivé ici …et bien moi aussi c’est ce que j’ai essayé de faire avec vous, transmettre …

Phil : merci d’avoir partager avec nous cette expérience

Hasta Luego, Hasta la proxima. Que Viva el flamenco !

Pascual : merci à toi, avec le flamenco, le bon c’est qu’on va se revoir. Les aficionados se retrouvent toujours … Merci

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